Das Frühbronzezeitliche Gräberfeld von Donath GR, ein Beitrag zur Anthropologie der alpinen Bronzezeit der Schweiz [Extrait] / Bruno Kaufmann
Publication : 1979 In : Archives suisses d'anthropologie générale, 43 fasc. 2Description : p. 183-190 : 1 pl., 2 tabl.Langue : Allemand . Auteur principal: Kaufmann, Bruno Résumé : Dans les années 1925 et 1961 furent trouvés à Donath (Grisons, Suisse), des restes squelettiques humains qui - sur la base du matériel associé - ont pu être attribués à la phase tardive du Bronze ancien. Les individus, au nombre de six (au minimu), étaient ensevelis dans une "tombe à coupole" et disposés en inhumations multiples une sépulture triple (un adulte et deux enfants en bas âge) et une sépulture double (deux adultes). Ce mode funéraire était, à l'époque, peu courant en Suisse. Malgré l'existence de traumatismes (intra-vitaux) et de symptômes pathologiques multiples, il n'a été possible de déterminer ni la cause, ni le moment du décès. Plusieurs traits morphologiques communs font penser à des liens de parenté entre les personnes inhumées. L'analyse de ce matériel se poursuit..Pactols Sujet : sépulture ♦ sépulture collective ♦ squelette ♦ rituel funéraire ♦ anthropologie biologiquePactols Lieu : Europe centrale ♦ Suisse ♦ GrisonsMots libres: Donath .| Current location | Call number | Status | Date due | Barcode |
|---|---|---|---|---|
| Toulouse : TRACES | 1816-43-2 (Browse shelf) | Available | BACA014890 |
Dans les années 1925 et 1961 furent trouvés à Donath (Grisons, Suisse), des restes squelettiques humains qui - sur la base du matériel associé - ont pu être attribués à la phase tardive du Bronze ancien. Les individus, au nombre de six (au minimu), étaient ensevelis dans une "tombe à coupole" et disposés en inhumations multiples une sépulture triple (un adulte et deux enfants en bas âge) et une sépulture double (deux adultes). Ce mode funéraire était, à l'époque, peu courant en Suisse. Malgré l'existence de traumatismes (intra-vitaux) et de symptômes pathologiques multiples, il n'a été possible de déterminer ni la cause, ni le moment du décès. Plusieurs traits morphologiques communs font penser à des liens de parenté entre les personnes inhumées. L'analyse de ce matériel se poursuit.
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