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Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé | (RD) 59.MAR.Sev.04 (Browse shelf(Opens below)) | Not for loan | Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm | INRAP-PIC1-0003086 |
Trois grandes phases d’occupation peuvent être définies.
Un petit établissement rural de la première moitié du Ier s. ap. J.-C. : il s’agit principalement de fossés qui pourraient participer à l’établissement d’une exploitation agricole rurale de type “ferme indigène”. Il faut noter le mobilier peu abondant.
La villa gallo-romaine (Ier - première moitié du IVe s.) : c’est la phase la plus importante par le nombre de vestiges mis au jour et par sa durée d'occupation. Les vestiges s’étendent sur près de 420 m depuis les abords supposés des bâtiments de la pars urbana jusqu'à l'extrémité des bâtiments délimitant la pars rustica.
La phase de l'Antiquité tardive (seconde moitié du IVe s.- Ve s.) correspond à un habitat occupé par une population issue des troubles consécutifs à l’effondrement de l’Empire romain. Il s’agit d’aménagements rudimentaires réalisés avec les matériaux récupérés sur les bâtiments plus ou moins en ruine de la villa. Il s’agit de solins, de trous de poteau ou calages de sablières basses pour l’essentiel.
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