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Organisation des pouvoirs et contacts culturels dans les pays de l'empire achéménide : actes du colloque organisé au Collège de France par la Chaire d'histoire et civilisation du monde achéménide et de l'empire d'Alexandre et le Réseau international d'études et de recherches achéménides (GDR 2538 CNRS), 9-10 novembre 2007 / sous la direction de P. Briant et M. Chauveau
Ouvrage
Appartient aux collections: Persika
Publication: Paris : de Boccard, 2009 — 53-Bonchamp-lès-Laval Description: 1 vol. (427 p.) : ill. ; 29 cmCollection : Persika; 14, ISSN 1760-2637Titre de forme: Congrès, Paris, 2007ISBN: 9782701802671.Langue: Français Anglais Collectivité principale: Collège de France. Chaire d'histoire et civilisation du monde achéménide et de l'empire d'Alexandre Autre auteur: Briant, Pierre, 1940-...., Directeur de publication; Chauveau, Michel, Directeur de publication, 1956-...., égyptologue Collectivité co-auteur: Réseau international d'études et de recherches achéménides Résumé: Depuis l’Antiquité, l’hétérogénéité des différentes régions qui le composent, est considérée à juste titre comme la caractéristique majeure de l’État impérial achéménide. L’observation vient nourrir un débat de première importance, suscité par les modes de cohabitation et de relations, au sein d’un même ensemble politique, de populations diverses par la langue, le système de représentations culturelles, mais également par les croyances et les cultes, ou encore par les traditions sociales et politiques. C’est autour de ces interrogations qu’a été conçu le Colloque de 2007. De la même façon qu’en 2004, le colloque sur la Transition (Persika 9, 2006) avait été organisé autour d’un cas régional (la Babylonie) jugé essentiel par le renouvellement auquel il avait donné lieu dans les années récentes, on a choisi ici de braquer le projecteur de manière privilégiée sur la vallée du Nil. Traditionnellement, l’Égypte d’époque achéménide est restée un parent pauvre de l’égyptologie. Les choses ont changé depuis une quinzaine d’années, avec le développement des études achéménides en général, et l’essor des études démotiques en particulier. Des corpus documentaires nouveaux ont été publiés, qui, tous, offrent de nouvelles perspectives de recherche. La bibliographie récente rend compte de l’intérêt des égyptologues pour la question des rapports entre les Égyptiens et « les autres ». Le thème central a été accompagné et enrichi par des réflexions et des études qui portent sur d’autres régions de l’empire : la Babylonie, où la documentation est particulièrement fournie ; l’Asie Mineure, de mieux en mieux documentée par l’épigraphie, l’iconographie et l’archéologie ; et la Perse, où, comme l’avait démontré un précédent colloque (Persika 12), l’essor considérable et décisif des travaux sur les tablettes de Persépolis suscite des études de plus en plus précises. (Source : 4ème de couverture). Item type: Ouvrage
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Current library Call number Status Notes Date due Barcode
Lyon : MOM - Bibliothèque de la Maison de l'Orient et de la Méditerranée Libre accès AOR DS274. O7 (2007)2009 (Browse shelf(Opens below)) Available 109451
Montpellier : ASM - Archéologie des Sociétés Méditerranéennes R6/34 (Browse shelf(Opens below)) Available CNRS/STV/ENM/86.45 CDAREGY16086
Nanterre : MSH Mondes - Bibliothèque d’archéologie et des sciences de l’Antiquité D.360/600 PERS 14 (Browse shelf(Opens below)) Available P10 DEC Asie centrale 2010-06-11 - 9022-10343 BMRG17565

Textes des communications en français et en anglais

Bibliogr. en fin de chapitres. Notes bibliogr.

Depuis l’Antiquité, l’hétérogénéité des différentes régions qui le composent, est considérée à juste titre comme la caractéristique majeure de l’État impérial achéménide. L’observation vient nourrir un débat de première importance, suscité par les modes de cohabitation et de relations, au sein d’un même ensemble politique, de populations diverses par la langue, le système de représentations culturelles, mais également par les croyances et les cultes, ou encore par les traditions sociales et politiques. C’est autour de ces interrogations qu’a été conçu le Colloque de 2007. De la même façon qu’en 2004, le colloque sur la Transition (Persika 9, 2006) avait été organisé autour d’un cas régional (la Babylonie) jugé essentiel par le renouvellement auquel il avait donné lieu dans les années récentes, on a choisi ici de braquer le projecteur de manière privilégiée sur la vallée du Nil. Traditionnellement, l’Égypte d’époque achéménide est restée un parent pauvre de l’égyptologie. Les choses ont changé depuis une quinzaine d’années, avec le développement des études achéménides en général, et l’essor des études démotiques en particulier. Des corpus documentaires nouveaux ont été publiés, qui, tous, offrent de nouvelles perspectives de recherche. La bibliographie récente rend compte de l’intérêt des égyptologues pour la question des rapports entre les Égyptiens et « les autres ». Le thème central a été accompagné et enrichi par des réflexions et des études qui portent sur d’autres régions de l’empire : la Babylonie, où la documentation est particulièrement fournie ; l’Asie Mineure, de mieux en mieux documentée par l’épigraphie, l’iconographie et l’archéologie ; et la Perse, où, comme l’avait démontré un précédent colloque (Persika 12), l’essor considérable et décisif des travaux sur les tablettes de Persépolis suscite des études de plus en plus précises. (Source : 4ème de couverture)

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