site du réseau Frantiq
Image from Google Jackets
Normal view MARC view
La montagne sacrée du Bego : préoccupations économiques et mythes cosmogoniques des premiers peuples métallurgistes des Alpes méridionales : propositions de lecture / par Henry de Lumley et Annie Echassoux ; avec la collaboration de Nicoletta Bianchi, Graziella Le Breton, Philippe Percic... [et al.]
Ouvrage
Publication: Paris : CNRS éd., 2011 Description: 1 vol. (363 p.) : ill., cartes ; 26 cm.ISBN: 9782271069634.Langue: Français Auteur principal: Lumley, Henry de, 1934-.... Co-auteur: Echassoux, Annie Autre auteur: Bianchi, Nicoletta, Auteur; Le Breton, Graziella, Auteur; Percic, Philippe, Auteur Résumé: Au coeur du Mercantour, le mont Bego domine de toute sa majesté les vallées des Merveilles et de Fontanalba. Entre 3300 et 1800 ans av. J.-C., les populations des Alpes méridionales en ont fait une montagne sacrée, lieu de séjour et de culte de leurs divinités. Chaque été, en ces hautes vallées montagnardes libérées des neiges, prêtres et fidèles se rassemblaient pour invoquer les puissances divines. Sur près de 4 000 roches, sont inscrits plus de 40 000 signes figuratifs et, au total, plus de 100 000 gravures. Avec les cunéiformes de Sumer et les hiéroglyphes d’Égypte, ce sont les plus anciennes « écritures » de l’histoire de l’humanité. Merveilles d’un Art universel, ces gravures rupestres figurent des idéogrammes en forme de cornes, d’attelages, de poignards, de hallebardes ou de haches, renvoyant à des conceptions cosmogoniques, à des pratiques ancestrales puisant aux origines des temps néolithiques. Ça et là, quelques précieuses représentations d’homme ou de femme s’élèvent vers la voûte céleste. Ce ne sont pas de simples mortels, mais assurément quelque dieu du ciel tout-puissant, déesse-terre ou sorcier, dont on voulait s’assurer la clémence ou les bienfaits. (Source : éditeur). Item type: Ouvrage

Bibliogr. p. 359-[364]

Au coeur du Mercantour, le mont Bego domine de toute sa majesté les vallées des Merveilles et de Fontanalba. Entre 3300 et 1800 ans av. J.-C., les populations des Alpes méridionales en ont fait une montagne sacrée, lieu de séjour et de culte de leurs divinités. Chaque été, en ces hautes vallées montagnardes libérées des neiges, prêtres et fidèles se rassemblaient pour invoquer les puissances divines. Sur près de 4 000 roches, sont inscrits plus de 40 000 signes figuratifs et, au total, plus de 100 000 gravures. Avec les cunéiformes de Sumer et les hiéroglyphes d’Égypte, ce sont les plus anciennes « écritures » de l’histoire de l’humanité.
Merveilles d’un Art universel, ces gravures rupestres figurent des idéogrammes en forme de cornes, d’attelages, de poignards, de hallebardes ou de haches, renvoyant à des conceptions cosmogoniques, à des pratiques ancestrales puisant aux origines des temps néolithiques. Ça et là, quelques précieuses représentations d’homme ou de femme s’élèvent vers la voûte céleste. Ce ne sont pas de simples mortels, mais assurément quelque dieu du ciel tout-puissant, déesse-terre ou sorcier, dont on voulait s’assurer la clémence ou les bienfaits.
(Source : éditeur)

There are no comments on this title.

to post a comment.