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Les Essards, Saint-Georges-des-Groseillers, (Orne) : rapport de diagnostic / Benjamin Hérard ; avec la collaboration de Sébastien Giazzon
Rapport de fouille
Publication: Cesson-Sévigné : Inrap GO, 2009 Description: 1 vol. (19 p.) : couv. ill. en coul. ; 30 cmLangue: FrançaisPays: France Auteur principal: Herard, Benjamin Autre auteur: Giazzon, Sébastien, Auteur Résumé: Le diagnostic archéologique a été réalisé sur l'emprise du projet d'une Mure zone d'activités (6,43 ha) initié par la Communauté d'agglom6ration du Pays de Flers. La surface, qui a été explorée à hauteur de 8,5 96, a livré des résultats modestes. La découverte la plus intéressante sur le plan scientifique est celle d'un four protohistorique malheureusement assez mal conservé. Un aménagement de même type, mais cette fois attribuable à l'époque moderne ainsi qu'une voie empierrée et un système parcellaire remontant au moins la même période accompagnent cette découverte. Aucune concentration de vestiges n'est observable sur la surface explorée, les structures ou anomalies d'origine anthropique sont en situation dispersée. Au regard de ces résultats, le risque que l'aménagement de la zone d'activités perturbe des vestiges archéologiques majeurs se trouve patiiculiérement réduit..Mots libres: Saint-Georges-des-Groseillers . Item type: Rapport de fouille
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Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé (RD)61.stGEO.Her.09 (Browse shelf(Opens below)) Not for loan Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm INRAP-BRT1-0001766

Le diagnostic archéologique a été réalisé sur l'emprise du projet d'une Mure zone d'activités
(6,43 ha) initié par la Communauté d'agglom6ration du Pays de Flers. La surface, qui a été explorée à
hauteur de 8,5 96, a livré des résultats modestes. La découverte la plus intéressante sur le plan
scientifique est celle d'un four protohistorique malheureusement assez mal conservé. Un aménagement
de même type, mais cette fois attribuable à l'époque moderne ainsi qu'une voie empierrée et un système
parcellaire remontant au moins la même période accompagnent cette découverte. Aucune
concentration de vestiges n'est observable sur la surface explorée, les structures ou anomalies d'origine
anthropique sont en situation dispersée. Au regard de ces résultats, le risque que l'aménagement de la
zone d'activités perturbe des vestiges archéologiques majeurs se trouve patiiculiérement réduit.

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