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LGV SEA - Phase 41-1-2, PK 31.100 - PK 34.800 : Draché, Indre-et-Loire (37) : rapport de diagnostic / par Agnès Couderc ; avec la collaboration de Jérôme Arquille, Sylvain Badey, Fayçal Ben Nejma... [et al.]
Rapport de fouille
Appartient aux collections: LGV Sud Europe Atlantique
Publication: L'Isle d'Espagnac : Inrap LGV SEA, 2013 Description: 1 vol. (66 p.) : ill. en coul., 33 figures ; 30 cmCollection : LGV Sud Europe AtlantiqueLangue: FrançaisPays: France Auteur principal: Couderc, Agnès Autre auteur: Arquille, Jérôme, Auteur; Badey, Sylvain, Auteur; Ben Nejma, Fayçal, Auteur; Cunault, Mathias, Auteur; Di Napoli, Francesca, Auteur; Guix, Michel, Auteur; Ladureau, Philippe, Auteur; Pradat, Bénédicte, Auteur, 19..-....; Djemmali, Nasser, Auteur; Gardère, Philippe, Auteur Résumé: Cette opération de diagnostic archéologique s’est tenue en mars 2013 sur la phase 41, tranche 1, de l’emprise LGV, commune de Draché (Indre-et-Loire). Elle vient en complément du diagnostic conduit sur l’ensemble de la tranche 1 de la phase 41 en 2012 (Djemmali et al. 2012). Elle concerne les 78 784 m2 de superficie restant à prospecter, qui n’étaient pas accessibles au moment de la première intervention. Ce second diagnostic archéologique a permis d’explorer en réalité 52 313 m2, certaines parcelles étant déjà construites ou inaccessibles, notamment dans les zones 31, 32, 33 et 34. Le taux global des ouvertures archéologiques sur cette emprise est de 9,08 %, sachant qu’il varie de 6 à 13% selon les zones prospectées. Au total, peu de vestiges ont été mis au jour lors de cette opération. Les seules structures remarquables résident dans la découverte de deux silos riches en mobilier céramique, situés dans la continuité du site 37.098.035 AH découvert en 2012 dans les zones 31 et 33. Le mobilier a permis d’affiner la datation au Hallstatt final/La Tène A, tandis que certains éléments (meule, broyon) attestent de la présence d’un habitat de cette période, hypothèse déjà posée en 2012 pour le site. Sur le reste du tracé, cette opération confirme d’une façon générale les contextes géologiques et géomorphologiques décrits en 2012, et apporte, en marge de certaines occupations reconnues précédemment, des données complémentaires..Mots libres: Draché . Item type: Rapport de fouille
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Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé (RD)37. CRA. Cou. 13 (Browse shelf(Opens below)) Not for loan Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm INRAP-CTR2-0001862
Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé 37.DRA.Cou.13 (RD) (Browse shelf(Opens below)) Not for loan Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm INRAP-CTR1-0001712
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Bibliogr. : p. 59.

Cette opération de diagnostic archéologique s’est tenue en mars 2013 sur la phase
41, tranche 1, de l’emprise LGV, commune de Draché (Indre-et-Loire). Elle vient en
complément du diagnostic conduit sur l’ensemble de la tranche 1 de la phase 41 en 2012
(Djemmali et al. 2012). Elle concerne les 78 784 m2 de superficie restant à prospecter, qui
n’étaient pas accessibles au moment de la première intervention.
Ce second diagnostic archéologique a permis d’explorer en réalité 52 313 m2, certaines
parcelles étant déjà construites ou inaccessibles, notamment dans les zones 31, 32, 33 et
34. Le taux global des ouvertures archéologiques sur cette emprise est de 9,08 %, sachant
qu’il varie de 6 à 13% selon les zones prospectées.
Au total, peu de vestiges ont été mis au jour lors de cette opération. Les seules structures
remarquables résident dans la découverte de deux silos riches en mobilier céramique,
situés dans la continuité du site 37.098.035 AH découvert en 2012 dans les zones 31 et
33. Le mobilier a permis d’affiner la datation au Hallstatt final/La Tène A, tandis que
certains éléments (meule, broyon) attestent de la présence d’un habitat de cette période,
hypothèse déjà posée en 2012 pour le site. Sur le reste du tracé, cette opération confirme
d’une façon générale les contextes géologiques et géomorphologiques décrits en 2012,
et apporte, en marge de certaines occupations reconnues précédemment, des données
complémentaires.

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