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Le jardin des pharaons / Esther Wolff & François Felber
Ouvrage
Publication: Gollion : Infolio, 2016 • Lausanne : Musée et jardins botaniques cantonaux, 2016 Description: 1 vol. (96 p.) : ill. en noir et en coul., carte ; 24 cmISBN: 9782884747677.Langue: Français ; de résumé, FrançaisPays: Suisse Auteur principal: Wolff, Esther Co-auteur: Felber, François Résumé: Partez à la découverte d’un aspect méconnu de l’Egypte ancienne: le jardin égyptien et les plantes cultivées à cette époque ! Le rapport des Egyptiens aux plantes était sacré et l’étude des vestiges ou des représentations dans les tombes et les palais éclaire leur mode de vie. Les jardins étaient l’apanage des pharaons, des prêtres et des notables, animés par le besoin constant de vaincre le chaos, en suivant des codes stricts pour leur réalisation. Les jardins renforçaient également le prestige des pharaons et certains ont même conduit des expéditions afin de ramener de nouveaux végétaux, réalisant de véritables « jardins botaniques ». Le regard croisé de l’archéologie et de la botanique permet ainsi d’entrevoir l’intimité de la vie en Egypte ancienne, en particulier celle de son élite. Esther Wolff est docteur en égyptologie de l’Université de Strasbourg (France). Elle collabore avec les Musée et Jardins botaniques cantonaux de Lausanne depuis 2015. François Felber est docteur ès sciences de l’Université de Neuchâtel pour un travail en systématique des plantes. Directeur des Musée et Jardins botaniques cantonaux vaudois à Lausanne et Pont-de-Nant (Suisse). (Source : éditeur). Item type: Ouvrage

publié en marge de l'exposition "Le jardin des pharaons", Musée et jardins botaniques cantonaux, Lausanne 20 mai-30 octobre 2016

Bibliogr. p. 93-95

Partez à la découverte d’un aspect méconnu de l’Egypte ancienne: le jardin égyptien et les plantes cultivées à cette époque ! Le rapport des Egyptiens aux plantes était sacré et l’étude des vestiges ou des représentations dans les tombes et les palais éclaire leur mode de vie. Les jardins étaient l’apanage des pharaons, des prêtres et des notables, animés par le besoin constant de vaincre le chaos, en suivant des codes stricts pour leur réalisation. Les jardins renforçaient également le prestige des pharaons et certains ont même conduit des expéditions afin de ramener de nouveaux végétaux, réalisant de véritables « jardins botaniques ». Le regard croisé de l’archéologie et de la botanique permet ainsi d’entrevoir l’intimité de la vie en Egypte ancienne, en particulier celle de son élite. Esther Wolff est docteur en égyptologie de l’Université de Strasbourg (France). Elle collabore avec les Musée et Jardins botaniques cantonaux de Lausanne depuis 2015. François Felber est docteur ès sciences de l’Université de Neuchâtel pour un travail en systématique des plantes. Directeur des Musée et Jardins botaniques cantonaux vaudois à Lausanne et Pont-de-Nant (Suisse).
(Source : éditeur)

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