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Bourgogne, Côte-d'Or, Courban, ancienne commanderie du domaine d'Épailly : rapport de diagnostic / sous la direction de Romuald Pinguet
Rapport de fouille
Publication: Dijon : Inrap GES, 2013 Description: 1 vol. (50 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul., cartes, plans ; 30 cmLangue: FrançaisPays: France Auteur principal: Pinguet, Romuald Résumé: Quatre sondages ont été réalisés à l’extérieur, sur le pourtour de l’édifice, trois autour de la chapelle et le dernier sur le tracé du futur raccordement du réseau à celui préexistant, situé à une vingtaine de mètres de l’angle nord-ouest de la chapelle, en direction de l’ouest. Des mentions textuelles ainsi que les traces d’arrachement nettement visibles dans les maçonneries sur le mur gouttereau nord et le mur pignon ouest annonçaient la découverte probable des fondations de ces deux éléments. Le sondage 3, implanté à l’angle sud-ouest du porche situé à l’ouest montre que les fondations n’existent plus et que les matériaux sont entièrement récupérés. Seul subsiste l’arrachement des maçonneries, observé dès le niveau actuel du sol et sur plus d’un mètres de profondeur. En revanche, aucune trace ne subsiste de celui situé au nord. Le sondage 1 a permis la mise au jour de la fondation d’un des deux contreforts aujourd’hui disparus et reconnu sur environ 1 mètre de profondeur. Sa maçonnerie est harpée avec celle des fondations de la chapelle. En l’absence de toute relation, on ignore si l’allée dallée aperçue en direction du nord peut fonctionner avec la chapelle ou avec le porche disparu. Cependant, sa faible profondeur d’enfouissement nous pousse à penser à un aménagement très récent dont on ne connait pas la nature. Le sondage 2 ne révèle rien de particulier hormis une stratigraphie associée au chœur de la chapelle. Enfin, le sondage 4 a permis de préciser l’extension vers l’est d’un massif de maçonneries en partie désorganisées, probablement lié a un système de porterie de type pont levis avec partie dormante. L’emprise de cette porte, connue par les documents d’archives, fut mise en évidence dès 2008 par Harald von der Osten, dans son étude géophysique du site. La découverte fortuite d’un espace voûté dès 2007 lors de la création d’un réseau électrique montre qu’une partie des fondations est toujours en place. Aucune sépulture n’a été reconnue lors des nos investigations. Seuls deux fragments de crâne furent mis au jour dans le sondage 3.. Item type: Rapport de fouille
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Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé (RD)21.COU.Pin.13 (Browse shelf(Opens below)) Not for loan Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm A-BRG1-0001506
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Bibliogr. p. 41

Quatre sondages ont été réalisés à l’extérieur, sur le pourtour de l’édifice, trois autour de la chapelle et le dernier sur le tracé du futur raccordement du réseau à celui préexistant, situé à une vingtaine de mètres de l’angle nord-ouest de la chapelle, en direction de l’ouest. Des mentions textuelles ainsi que les traces d’arrachement nettement visibles dans les maçonneries sur le mur gouttereau nord et le mur pignon ouest annonçaient la découverte probable des fondations de ces deux éléments. Le sondage 3, implanté à l’angle sud-ouest du porche situé à l’ouest montre que les fondations n’existent plus et que les matériaux sont entièrement récupérés. Seul subsiste l’arrachement des maçonneries, observé dès le niveau actuel du sol et sur plus d’un mètres de profondeur. En revanche, aucune trace ne subsiste de celui situé au nord. Le sondage 1 a permis la mise au jour de la fondation d’un des deux contreforts aujourd’hui disparus et reconnu sur environ 1 mètre de profondeur. Sa maçonnerie est harpée avec celle des fondations de la chapelle. En l’absence de toute relation, on ignore si l’allée dallée aperçue en direction du nord peut fonctionner avec la chapelle ou avec le porche disparu. Cependant, sa faible profondeur d’enfouissement nous pousse à penser à un aménagement très récent dont on ne connait pas la nature. Le sondage 2 ne révèle rien de particulier hormis une stratigraphie associée au chœur de la chapelle. Enfin, le sondage 4 a permis de préciser l’extension vers l’est d’un massif de maçonneries en partie désorganisées, probablement lié a un système de porterie de type pont levis avec partie dormante. L’emprise de cette porte, connue par les documents d’archives, fut mise en évidence dès 2008 par Harald von der Osten, dans son étude géophysique du site. La découverte fortuite d’un espace voûté dès 2007 lors de la création d’un réseau électrique montre qu’une partie des fondations est toujours en place. Aucune sépulture n’a été reconnue lors des nos investigations. Seuls deux fragments de crâne furent mis au jour dans le sondage 3.

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