Current library | Collection | Call number | Status | Notes | Date due | Barcode |
---|---|---|---|---|---|---|
Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé | (RD)31.AUR.Mar.14 (Browse shelf(Opens below)) | Not for loan | Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm | MDP1-0002226 | ||
Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé | (RD)31.AUR.Mar.14 (Browse shelf(Opens below)) | Not for loan | Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm | MDP2-0000962 | ||
Toulouse : SRA Midi-Pyrénées Réserve | Papier | RAP06133 (Browse shelf(Opens below)) | Exclu du prêt |
biblogr. p. 44
Les principaux résultats du diagnostic réalisé à Auriac-sur-Vendinelle au lieu-dit En Sansus portent sur une période ho111ogène située entre le 13e et le 15e siècle. Il s'agit des trois fosses circulaires des sondages 2, 7 et 10 situées plutôt dans la partie nord-ouest du périn1ètre sondé. Ces fosses sont très pauvres en mobilier céramique, deux d'entre elles présentent un
comblement supérieur fait avec de gros blocs de grès parfois chauffés, marquant sans doute un acte de condamnation de la structure. L'une de ces fosses (sond. 2) sen1ble associée à un fossé double (str. 01) distant d'une dizaine de niètres. La datation de cc fossé est fragile puisqu'elle ne repose que sur la découverte d'un seul tesson.
À proximité des sondages 2, 7 et 10, le sondage 22 a livré entre 0,50 et 0,70m de profondeur du mobilier céramique du 13e siècle assez abondant miais en position secondaire et donc non structuré. Par contre à l'extrémité est du diagnostic (sond. 24) un vase en position isolée et en place, datable des 13- 15e siècles, a été retrouvé mais sans aucune structure d'accompagnement à proximité.
Dans les sondages 23 et 27 deux ouvrages en pierres et briques présententune mise en oeuvre identique que l'on pourrait interpréter comme de simples drains, mais l'hypothèse de murets de soutènement liés à une exploitation à ciel ouvert de la roche locale (sond. 23) ou de séparation de parcelles (sond. 37) est envisageable.
L'extension de ces différentes structures semble relativement limitée ; les éléments d'une éventuelle occupation médiévale structurée - par des trous ou calages de poteaux - sont absents et la quantité de mobilier recueilli est assez faible. Cependant il est assez probable que la zone ait fait l'objet d'une exploitation du calcaire sous forme de carrière ouverte depuis le Moyen Âge.
There are no comments on this title.