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Die (Drôme), 4 rue des Fabriques : rapport de diagnostic / Sous la direction de Jean-Marc Lurol
Rapport de fouille
Publication: Bron : Inrap RAA, 2013 Description: 1 vol. (71 p.) : ill. en coul., cartes, plans (8 fig.) ; 30 cmLangue: FrançaisPays: France Auteur principal: Lurol, Jean-Marc, 19..-.... Résumé: Ce diagnostic archéologique a permis d’une part de réaliser une analyse des dépôts sédimentaires supérieurs de ce secteur sur plus de 2 m d’épaisseur et d’autre part de mettre au jour deux vestiges de maçonneries : une base de mur et un caniveau. L’analyse de la stratigraphie a montré que la majorité des recouvrements sont des colluvions qui proviennent des pentes de la colline qui domine le secteur d’étude. Dans le fond des sondages, ces colluvions paraissent naturels et ne contiennent pas d’artefact. Par dessus, se mettent en place des dépôts de sédiments, plus ou moins anthropisés (tuiles, céramique), dont l’origine est à la fois le résultat de colluvionnements et aussi d’apports volontaires de remblai. Le mobilier archéologique est composé de huit fragments d’amphore, il apparaît dispersé dans les couches. Il n’existe aucun niveau de sol en place. Les deux vestiges de maçonneries : une base de mur repérée dans les sondages 1, 2 et 3 qui correspond sans doute à un mur de terrasse et un caniveau maçonné, apparaissent directement sous la terre végétale. Ces deux ensembles sont récents et peuvent être attribués soit à la fin de l’époque Moderne soit à l’époque Contemporaine..
Sujet: mur Lieu: Die Époque: époque moderne époque contemporaine
Item type: Rapport de fouille
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Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé (RD).26.DIE.Lur.13 (Browse shelf(Opens below)) Not for loan Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm RHA1-0002908

Ce diagnostic archéologique a permis d’une part de réaliser une analyse des dépôts sédimentaires supérieurs de ce secteur sur plus de 2 m d’épaisseur et d’autre part de mettre au jour deux vestiges de maçonneries : une base de mur et un caniveau. L’analyse de la stratigraphie a montré que la majorité des recouvrements sont des colluvions qui proviennent des pentes de la colline qui domine le secteur d’étude. Dans le fond des sondages, ces colluvions paraissent naturels et ne contiennent pas d’artefact. Par dessus, se mettent en place des dépôts de sédiments, plus ou moins anthropisés (tuiles, céramique), dont l’origine est à la fois le résultat de colluvionnements et aussi d’apports volontaires de remblai. Le mobilier archéologique est composé de huit fragments d’amphore, il apparaît dispersé dans les couches. Il n’existe aucun niveau de sol en place. Les deux vestiges de maçonneries : une base de mur repérée dans les sondages 1, 2 et 3 qui correspond sans doute à un mur de terrasse et un caniveau maçonné, apparaissent directement sous la terre végétale. Ces deux ensembles sont récents et peuvent être attribués soit à la fin de l’époque Moderne soit à l’époque Contemporaine.

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