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La Rhétorique du "petit" dans l'épigramme greque et latine : actes du colloque de Strasbourg, 26-27 mai 2015 / édités par Doris Meyer et Céline Urlacher-Becht
Ouvrage
Appartient aux collections: Etudes d'archéologie et d'histoire ancienne, Lenfant, Dominique (1964-....), Paris, 1284-6325, 28 Notices liées : 19
Publication: Paris : De Boccard, 2017 Description: 1 vol. (343 p.) ; 24 cmCollection : Études d'archéologie et d'histoire ancienne, ISSN 1284-6325Titre de forme: Congrès, Strasbourg, 2015ISBN: 9782701805238.Langue: FrançaisItalienPays: France Autre auteur: Meyer, Doris, Editeur scientifique, 1964-....; Urlacher-Becht, Céline, Editeur scientifique, 1980-.... Résumé: La thématique du « petit » traverse toute l’histoire de l’épigramme littéraire antique, depuis la naissance du livre d’épigrammes en Grèce vers 400 av. J.-C. jusqu’à ses dernières manifestations dans la latinité tardive. Par-delà la mesure brève des pièces, innombrables sont en effet les « petits » sujets traités, depuis les supports réduits jusqu’aux sujets légers, en passant par les humbles figures. À maintes reprises, c’est le poète lui-même qui se présente sous des traits modestes ou donne une image dépréciée de ses vers, si bien que ses poèmes semblent relever d’un vain divertissement. Le « petit » est néanmoins aussi le fin, le subtil, le raffiné, etc. ; quant au modeste poète, il est celui qui sait reprendre à son compte la tradition littéraire antérieure, en l’ajustant à la fois aux goûts de son milieu et à ses objectifs propres, non parfois sans ambition quand il parle aux/des « grands ». La part de la « rhétorique » est ainsi nette. Les contributions réunies dans ce volume ne s’attachent pas seulement à l’étude des multiples déclinaisons auxquelles se prête cette topique ou à l’examen des jeux d’opposition montrant la part de la posture littéraire ; il s’agit d’en dégager les enjeux pluriels ‒ esthétiques, moraux et socio-politiques. En prenant en considération le genre dans toute son étendue temporelle et géographique, elles mettent par ailleurs au jour plusieurs éléments de différenciation entre l’épigramme grecque et romaine, profane et chrétienne, tout en montrant comment ce schème constitue un élément fédérateur du genre, en particulier dans la latinité tardive, où l’épigramme s’émancipe de ses cadres traditionnels. (source : éditeur).Mots libres: Léonidas de Tarente -- métapoésie . Item type: Ouvrage
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Aix-en-Provence : BiAA – Bibliothèque d’Antiquité d’Aix Libre accès LTG 153 (Browse shelf(Opens below)) Available 0100000023166
Besançon : ISTA - Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité Libre accès Cr-B 4147 (Browse shelf(Opens below)) Available 20184147
Lyon : MOM - Bibliothèque de la Maison de l'Orient et de la Méditerranée Libre accès TXT PA3022.E62. R48 2017 (Browse shelf(Opens below)) Available 147635

Contributions en français et en italien

Bibliogr. p. 299-330. Index p. 331-343

La thématique du « petit » traverse toute l’histoire de l’épigramme littéraire antique, depuis la naissance du livre d’épigrammes en Grèce vers 400 av. J.-C. jusqu’à ses dernières manifestations dans la latinité tardive. Par-delà la mesure brève des pièces, innombrables sont en effet les « petits » sujets traités, depuis les supports réduits jusqu’aux sujets légers, en passant par les humbles figures. À maintes reprises, c’est le poète lui-même qui se présente sous des traits modestes ou donne une image dépréciée de ses vers, si bien que ses poèmes semblent relever d’un vain divertissement. Le « petit » est néanmoins aussi le fin, le subtil, le raffiné, etc. ; quant au modeste poète, il est celui qui sait reprendre à son compte la tradition littéraire antérieure, en l’ajustant à la fois aux goûts de son milieu et à ses objectifs propres, non parfois sans ambition quand il parle aux/des « grands ». La part de la « rhétorique » est ainsi nette.
Les contributions réunies dans ce volume ne s’attachent pas seulement à l’étude des multiples déclinaisons auxquelles se prête cette topique ou à l’examen des jeux d’opposition montrant la part de la posture littéraire ; il s’agit d’en dégager les enjeux pluriels ‒ esthétiques, moraux et socio-politiques. En prenant en considération le genre dans toute son étendue temporelle et géographique, elles mettent par ailleurs au jour plusieurs éléments de différenciation entre l’épigramme grecque et romaine, profane et chrétienne, tout en montrant comment ce schème constitue un élément fédérateur du genre, en particulier dans la latinité tardive, où l’épigramme s’émancipe de ses cadres traditionnels. (source : éditeur)

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