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Coiffures et parures de tête en Égée à l'âge du Bronze / Betty Ramé
Ouvrage
Appartient au périodique : Aegaeum, Université de Liège, Service d'histoire de l'art et d'archéologie de la Grèce antique, University of Texas at Austin, Program in Aegean scripts and prehistory, Liège, 1987-, Buteneers, https://reseau-mirabel.info/revue/11661, 47, 0776-3808
Publication: Leuven : Peeters, 2022 Description: 1 vol. (322 p.-XXVII p. de pl.) : ill. en noir et en coul., graph., tabl. ; 30 cmISBN: 9789042950153.Diplome: Texte remanié de : Thèse de doctorat : Protohistoire égéenne : Paris 1 : 2020.Langue: FrançaisPays: Belgique Auteur principal: Ramé, Betty, Auteur, 1992-.... Résumé: Les coiffures et les parures de tête, en tant qu’éléments forts de communication, permettent d’aborder des champs d’investigation sur l’appartenance culturelle et identitaire de leurs porteurs. Cette recherche, à travers ce nouvel angle d’approche, vise à éclairer la place et le rôle de la chevelure et des coiffes dans les civilisations égéennes de l’Âge du Bronze. L’étude se fonde principalement sur deux types de sources complémentaires: les sources directes (bandeaux métalliques) et les sources indirectes (iconographie). La démarche conduit à proposer une nouvelle typologie morpho-stylistique des coiffures et parures de tête visibles dans l’iconographie. Ces diverses représentations montrent que certaines coiffures et parures de tête sont des marqueurs sexuels, chrono-culturels et sociaux. Grâce à un double examen visuel (observation macroscopique et microscopique) des bandeaux métalliques, on peut reconstituer leur chaîne opératoire. L’étude met en évidence des différences techniques (fabrication et décoration) et des traces d’usure intimement liées aux contextes chrono-culturels. La recherche tend également à montrer que le bandeau devait être porté en association avec un tissu. Par l’étude des traces immatérielles et grâce à la mobilisation de diverses sources (iconographiques, archéologiques, textuelles et comparatives), on a tenté d’appréhender les outils et la gestuelle associés au traitement de la chevelure, mais aussi les matériaux pouvant composer les parures de tête représentées en iconographie. Des reconstitutions du port du bandeau ont enfin montré le vaste champ de possibilités du port de cet artefact. (Source : éditeur). Item type: Ouvrage List(s) this item appears in: MSHM - Monde grec 2023 | MOM-PER-Avril_2023 | MOM-PER-Année_2023
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Current library Call number Status Notes Date due Barcode
Lyon : MOM - Bibliothèque de la Maison de l'Orient et de la Méditerranée Libre accès P Périodiques (Browse shelf(Opens below)) Available 126690
Nanterre : MSH Mondes - Bibliothèque d’archéologie et des sciences de l’Antiquité P 836 (Browse shelf(Opens below)) Available Abonnement BMRG33900

Bibliogr. p. [223]-245. Notes bibliogr.

Texte remanié de : Thèse de doctorat : Protohistoire égéenne : Paris 1 : 2020

Les coiffures et les parures de tête, en tant qu’éléments forts de communication, permettent d’aborder des champs d’investigation sur l’appartenance culturelle et identitaire de leurs porteurs. Cette recherche, à travers ce nouvel angle d’approche, vise à éclairer la place et le rôle de la chevelure et des coiffes dans les civilisations égéennes de l’Âge du Bronze.
L’étude se fonde principalement sur deux types de sources complémentaires: les sources directes (bandeaux métalliques) et les sources indirectes (iconographie). La démarche conduit à proposer une nouvelle typologie morpho-stylistique des coiffures et parures de tête visibles dans l’iconographie. Ces diverses représentations montrent que certaines coiffures et parures de tête sont des marqueurs sexuels, chrono-culturels et sociaux.
Grâce à un double examen visuel (observation macroscopique et microscopique) des bandeaux métalliques, on peut reconstituer leur chaîne opératoire. L’étude met en évidence des différences techniques (fabrication et décoration) et des traces d’usure intimement liées aux contextes chrono-culturels. La recherche tend également à montrer que le bandeau devait être porté en association avec un tissu.
Par l’étude des traces immatérielles et grâce à la mobilisation de diverses sources (iconographiques, archéologiques, textuelles et comparatives), on a tenté d’appréhender les outils et la gestuelle associés au traitement de la chevelure, mais aussi les matériaux pouvant composer les parures de tête représentées en iconographie. Des reconstitutions du port du bandeau ont enfin montré le vaste champ de possibilités du port de cet artefact.
(Source : éditeur)

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