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Arthon-en-Retz (Loire-Atlantique), Résidence Saint-Joseph : rapport de diagnostic / sous la responsabilité de Dominique Doyen ; avec la collaboration de Frédéric Mélec, Jean-François Nauleau, Yannick Pugin... [et al.]
Rapport de fouille
Publication: Cesson-Sévigné : Inrap GO, 2013 Description: 1 vol. (98 p.) : couv. ill., ill. en coul., plans ; 30 cmLangue: FrançaisPays: France Auteur principal: Doyen, Dominique, 1947-.... Autre auteur: Melec, Frédéric, Auteur; Nauleau, Jean-François, Auteur; Pugin, Yannick, Auteur Résumé: L’intervention de diagnostic s’inscrit dans un secteur d’Arthon-en-Retz ayant livré un indice archéologique connu depuis le milieu du XIXe s. Celui-ci correspond à des vestiges d’une occupation gallo-romaine, dont une portion d’un établissement thermal a été fouillée en 1965/1966 sous la responsabilité d’A. Plouhinec. Ces vestiges, situés dans le jardin du presbytère, se trouvent à quelques mètres à l’ouest des parcelles faisant l’objet de la recherche, seul un mur de clôture sépare la zone de fouille de 1965 et le secteur traité. Le diagnostic a permis de mettre au jour plusieurs structures anthropiques et une petite quantité de mobilier archéologique. Ces vestiges appartiennent à des ensembles structurés datés de la période gallo-romaine ou du XVe/XVIe s. Le premier ensemble de vestiges correspond à des fondations empierrées, probablement de plusieurs bâtiments gallo-romains et à différents niveaux antérieurs, contemporains et postérieurs à leur construction. Le diagnostic a permis de mettre au jour, entre autres, l’angle sud-ouest du bâtiment thermal reconnu par A. Plouhinec. Il apparaît que cette construction est très bien conservée, au moins trois assises de son élévation et son niveau de sol aménagé intérieur sont conservés. Le rare mobilier découvert indique que cette construction ne peut être antérieure au milieu du Ier, voire du 3e quart du Ier s. ap. J.-C. Le deuxième ensemble de structures correspond à un petit groupe de vestiges pouvant être datés du XVe/XVIe s. Il comprend deux fondations empierrées, sans liant, d’une construction partiellement dégagée, quelques trous de poteau qui semblent présenter une organisation spatiale et une structure circulaire empierrée correspondant à un puits..Mots libres: béton de tuileau -- mortier de tuileau -- beton de tuileau . Item type: Rapport de fouille
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Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé (RD) 44.ART.Doy.13 (Browse shelf(Opens below)) Not for loan Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm INRAP-BRT1-0002515
Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé (RD) 44.ART.Doy.13 (Browse shelf(Opens below)) Not for loan Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm INRAP-PDL1-0001357

Bibliogr. p. 76-77

L’intervention de diagnostic s’inscrit dans un secteur d’Arthon-en-Retz ayant livré un indice archéologique connu depuis le milieu du XIXe s. Celui-ci correspond à des vestiges d’une occupation gallo-romaine, dont une portion d’un établissement thermal a été fouillée en 1965/1966 sous la responsabilité d’A. Plouhinec. Ces vestiges, situés dans le jardin du presbytère, se trouvent à quelques mètres à l’ouest des parcelles faisant l’objet de la recherche, seul un mur de clôture sépare la zone de fouille de 1965 et le secteur traité. Le diagnostic a permis de mettre au jour plusieurs structures anthropiques et une petite quantité de mobilier archéologique. Ces vestiges appartiennent à des ensembles structurés datés de la période gallo-romaine ou du XVe/XVIe s. Le premier ensemble de vestiges correspond à des fondations empierrées, probablement de plusieurs bâtiments gallo-romains et à différents niveaux antérieurs, contemporains et postérieurs à leur construction. Le diagnostic a permis de mettre au jour, entre autres, l’angle sud-ouest du bâtiment thermal reconnu par A. Plouhinec. Il apparaît que cette construction est très bien conservée, au moins trois assises de son élévation et son niveau de sol aménagé intérieur sont conservés. Le rare mobilier découvert indique que cette construction ne peut être antérieure au milieu du Ier, voire du 3e quart du Ier s. ap. J.-C. Le deuxième ensemble de structures correspond à un petit groupe de vestiges pouvant être datés du XVe/XVIe s. Il comprend deux fondations empierrées, sans liant, d’une construction partiellement dégagée, quelques trous de poteau qui semblent présenter une organisation spatiale et une structure circulaire empierrée correspondant à un puits.

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