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Dieue-sur-Meuse (Meuse), "La Corvée" : rapport de fouilles / K. Michel ; avec la collaboration de F. Adam, J.-M. Blaising, F. Decanter...[et al.]
Rapport de fouille
Publication: Metz : Inrap GEN, 2007 Description: 2 vol. (58, [n.p] 58 p.) : ill. en coul., cartes, plans ; 30 cmLangue: FrançaisPays: France Auteur principal: Michel, Karine Autre auteur: Adam, Frédéric, Auteur, 1965-....; Blaising, Jean-Marie, Auteur; Lefèvre, Philippe, Auteur; Koenig, Marie-Pierre, 1961-...., Auteur; Decanter, Franck, 19.., Auteur; Fabre, Véronique, 1964-...., Auteur Résumé: La première occupation du site semble correspondre au mésolithique, voir une phase antérieure. La période protohistorique est représentée par une seule sépulture dont le mobilier céramique la date du Bronze final I-IIa. Le haut Moyen-Âge est l’occupation principale et s’intègre dans une phase chronologique allant du Ve s. au Xe s. Les études effectuées sur l’ensemble du site permettent de faire des associations entre les différents types de structures. En effet, des unités agricoles s’en dégagent et se déplacent sensiblement à chaque reconstruction avec l’association systématique d’un fond de cabane, d’un bâtiment sur poteau, voir de fosses. Il est clair que l’agriculture reste une des fonctions dominantes et se traduit par la présence de greniers ou de parties de bâtiments pouvant servir au stockage. L’élevage, plus facilement identifiable sur les sites par les rejets d’ossements animaux, s’identifie principalement par la présence de boeuf, porc et mouton servant dans un premier temps pour la consommation de viande et de lait. Ils sont également les produits de matière première comme la laine ou le cuir, sans oublier que le boeuf et le cheval sont également des animaux de traction aidant à la culture des champs. D’autre part, une activité domestique est attestée par la présence de rejets de restes fauniques portant des traces de découpes. Ils sont les indices d’une activité de tabletterie. Nous noterons également l’inhumation isolée d’un jeune enfant à proximité de ces habitations, fait qui semble courant au haut Moyen-Âge.. Item type: Rapport de fouille
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Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé (RF) 55. DIE. Mic. 07 (Browse shelf(Opens below)) Not for loan Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm INRAP-LOR1-0000819
Paris : INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives Accès réservé (RF) 55. DIE. Mic. 07 (Browse shelf(Opens below)) Not for loan Vérifier la disponibilité d'une version numérisée sur le catalogue Dolia : http://multimedia.inrap.fr/Dolia/p-17038-Accueil.htm INRAP-LOR1-0000820
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la page de titre porte en plus la mention "document final de synthèse AFAN 2000"

Bibliogr. p. [59-63]

La première occupation du site semble correspondre au mésolithique, voir une phase antérieure. La période protohistorique est représentée par une seule sépulture dont le mobilier céramique la date du Bronze final I-IIa. Le haut Moyen-Âge est l’occupation principale et s’intègre dans une phase chronologique allant du Ve s. au Xe s. Les études effectuées sur l’ensemble du site permettent de faire des associations entre les différents types de structures. En effet, des unités agricoles s’en dégagent et se déplacent sensiblement à chaque reconstruction avec l’association systématique d’un fond de cabane, d’un bâtiment sur poteau, voir de fosses. Il est clair que l’agriculture reste une des fonctions dominantes et se traduit par la présence de greniers ou de parties de bâtiments pouvant servir au stockage. L’élevage, plus facilement identifiable sur les sites par les rejets d’ossements animaux, s’identifie principalement par la présence de boeuf, porc et mouton servant dans un premier temps pour la consommation de viande et de lait. Ils sont également les produits de matière première comme la laine ou le cuir, sans oublier que le boeuf et le cheval sont également des animaux de traction aidant à la culture des champs. D’autre part, une activité domestique est attestée par la présence de rejets de restes fauniques portant des traces de découpes. Ils sont les indices d’une activité de tabletterie. Nous noterons également l’inhumation isolée d’un jeune enfant à proximité de ces
habitations, fait qui semble courant au haut Moyen-Âge.

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